Samedi 19 mars | 20h | A L'UNISSON
Carte Blanche aux associations Algues au rythme, Noz&Roll et Roc'han feu

Depuis quelques temps, on sent qu'il se passe quelque chose d'intéressant entre les associations organisatrices de festivals. Un mouvement est-il en train de se mettre en marche ? Elles se parlent, se prêtent, se soutiennent, s'épaulent. Les équipes se croisent, se conseillent. Les échanges se multiplient. Et puis un jour, elles franchissent le pas et décident de proposer à L'Echonova une soirée ou chacune d'entre elles apportera sa griffe : rencontres, surprises et découvertes au rendez-vous.

SUCCESS | http://www.myspace.com/herecomessuccess

Guidé par l'imprévisible Mister Eleganz, croisement de Dean Martin sous amphétamines et d’Iggy Pop, Success charme, intrigue, provoque bref, ne laisse jamais indifférent. Depuis trois ans et une bonne centaine de concerts, leur performance scénique, mix de rock’n’roll et d’électro, marque au fer rouge les scènes françaises et européennes (Rock en Seine, Marsatac, Transmusicales (Rennes, République Tchèque, Russie), etc. Leur premier E.P « Hard to come back » apparaît sur la B.O. de « Zombieland », qui atteignit en 2009 le haut du box-office nord-américain. En cette fin 2010, un second E.P 5 titres "The Secret", produit et réalisé par Antoine Gaillet, consacre leur puissance et leur énergie.

EAT YOUR TOY | http://www.myspace.com/eatyourtoys

Originaire de Rennes, ce trio est un véritable bouillon de culture dans lequel se mélange tout ce que la musique a pu connaître comme influences depuis les sixties, voire plus encore, pour en arriver au bout du compte à un rock indie teinté d’une part de garage et d’une autre de punk avec en bonus des dérivations discrètes vers la pop et la house.

ELEPHANZ | http://www.myspace.com/elephanz

Créé en janvier 2008 par deux frères nantais, Maxime et Jonathan Verleysen, 24 et 26 ans. Elephanz développe une musique pop aux mélodies ultra-efficaces, qui rappelle immanquablement leurs influences communes à commencer par les Beatles, et passant par les Kinks, les Pixies, Bowie ou Neil Young. Un son racé et maîtrisé dont les textes ne pouvaient qu’être dans la langue de Shakespeare, pour des singles qui se retiennent naturellement. Des textes à plusieurs facettes, tantôt cyniques et acerbes lorsqu’ils parlent de cet anti-héros moderne déçu, négligé ou en admiration devant les filles, tantôt drôles et sincères quand ils traitent de l’amitié, la place des uns et des autres, la méfiance ou la complicité.

Tarifs > réduit : 6€ | prévente : 8€ | sur place : 10€